cathédrale
Tombeau de Mgr Marc Lallier
Il fut le premier scout français à devenir évêque
titulaire d’un diocèse : Nancy et Toul.
Il sera par la suite archevêque de Marseille et de Besançon.
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20 rue Mégevand
Plaque à l’abbé Robert BOURGEOIS,
aumônier des guides aînées du Feu de Besançon,
résistant, mort en déportation
cimetière des Caprais
Dans le caveau familial, tombe de l’abbé Jacques Charrière, un des auteurs majeurs de la collection Signe de Piste sous le pseudonyme de Jean Valbert.
Son roman Grand Jeu s’achève au pied de la statue ND de la Libération,
qui se situe sur la crète des Buis dominant la ville, au sud-est de Besançon.
En voici la belle conclusion :
Jean Valbert, Grand Jeu (dernière page p. 175 de l’édition de 1952)
« Ce que nous demandons au scoutisme, c’est de nous apprendre et de nous aider à jouer le vrai jeu de la vie, le jeu qui plaît à Dieu, le grand jeu du don de soi, de l’amitié et du service, le seul qui fasse des hommes et des chrétiens, le seul aussi qui donne la joie. Un très grand jeu en vérité, et dont nous n’avons certes pas à rougir. »
Chalet refuge du Larmont (AEEDF)
Voir photos sur le site
A la grotte de la Cernière
(2,5 km au nord-ouest de Chaux lès Châtillon)
on peut remarquer des graffitis de 1939
laissés par des EUF campant par là,
avec nom de leurs équipes (Vauban, Roland, Bayard, etc.)
Rue du commandant René Mouchotte.
Ce compagnon de la Libération aviateur était aussi un scout à la 19e Paris
qui portait sa croix de promesse scoute sur son tableau de bord.
Voir livre 100 Scouts morts pour la France p.237-238.
Au sud du hameau de Glainans, sur la D31,
monument à tous les tués de 1944, lors de la libération du secteur
dont Jean CERF, scout à la 14e Lille de 1935 à 1940, mort pour la France le 9 septembre 1944.
Oratoire en bois dédié à Notre-Dame de la Route
(avec une statue selon le modèle de Charles Jacob)
Plateau de Maîche
à Corbières
Chalet scouts et guides de France.
Tombe de Paul VAZIAGA
avec sa première épouse (cheftaine de Guides) Jeanne Marie née DUNOYER DE LALANDE morte en donnant le jour à une petite fillle.
Deux croix scoutes : une gravée sur la stèle verticale,
l’autre, plus grande et métallique, posée à plat sur la croix de la tombe
et les inscriptions suivantes :
VIRTUS – OFFICIUM – LABOR (Courage – Service – Travail)
DIEU – FAMILLE – PATRIE
AIME PASSIONNÉMENT TOUT CE QUE TU FAIS
Entré au Scouts de France à St Mandé en 1924. St Cyrien (promotion Bournazel en octobre 1932). Sert dans l’artillerie Coloniale. A Saïgon en 1937.
« Il nous avait dit bien souvent qu’il avait fait le sacrifice de sa vie ... Tu étais prêt. Que le souvenir de ce don reste à jamais frais dans nos cœurs et nous aide à le rester toujours, nous aussi », écrivait-il en prenant la suite de Pierre Huet, chef mort en accident.
CT de la 1re Saïgon, Elephant J. fut aussi chef de groupe puis Commisaire de district où il participa activement à la vie de la Route.
Porté disparu le 28 août 1945, mort pour la France à 33 ans à la frontière du Tonkin.
(voir Scouts morts en Indochine p.37).
Monument en souvenir d’aviateurs américains abattus ici en 1945,
érigé par des SdF à la place d’une croix qui marquait l’emplacement du crash
(la croix se trouvant désormais au musée de Beure 25720).
Rue du commandant Borne,
dans ce village où il s’est marié.
Rue du sous-lieutenant Jean LATRON
Scout de France à Marrakech
mort pour la France le 18 novembre 1944 à l’âge de 21 ans.
Il était le chef du char « Calais », qui touché par un tir d’obus, fut stoppé dans sa progression. Le Sous-Lieutenant LATRON décida de sortir pour aller donner ses ordres et dans les secondes qui suivirent, il fut touché de plein fouet.
Il est enterré au cimetière d’ARCEY.
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Le jeu de piste continue...
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