Oise

jeudi 25 mai 2017

Beauvais (60000)


JPEG - 214.7 ko Plaque gravée avce médailles des 3 frères Amyot d'Inville
au 29 boulevard Amyot d’Inville
(devant l’actuel siège de la « direction départementale de l’Agriculture »)

Monument et plaque gravée
avec bustes
des frères Amyot d’Inville

(Voir aussi ci-dessous à Senlis)

Nogent sur Oise (60180)

Collège Marcel Callo

(cf. à Rennes).

Compiègne (60200)

Palais de Justice

11 Rue Henri de Séroux
JPEG - 155.9 ko Dans le bureau du Procureur de la République,
au Tribunal en 2010 lors de travaux de rénovation,
une fresque murale de Pierre Joubert d’environ 2m sur 1m.
a été redécouverte et mise en valeur.

Il s’agit de Saint Louis rendant la justice dessiné par Pierre Joubert
pour son ami scout Yves de Verdilhac (alias Serge Dalens)
quand celui-ci était magistrat à Compiègne.

carrefour de la Faisanderie

JPEG - 577.1 ko JPEG - 130.6 ko Forêt à 4 km en direction PIERREFONDS, D 973
Après le carrefour de la Faisanderie, ce monument se trouve sur l’entrée du premier chemin à gauche.

Calvaire avec Croix potencée à la mémoire d’Alain DEMEURISSE et Francis PRIEUR.

JPEG - 169.4 ko

  • Alain DEMEURISSE ancien scout à la 27è Paris (gpe St-Philippe du Roule)
    JPEG - 496.5 ko JPEG - 14.2 ko
    Tous deux furent fusillés à la libération.
    (Cf. revue KIM n°152 p.21 à 29, et dossiers au Mémorial de Riaumont)

En 1996 le Pèlerinage St Remi, en marche de Compiègne à Reims,
y organisa une cérémonie avec dépôt de gerbes


En forêt de Compiègne également, sur les Beaux Monts (nord de la forêt)
à proximité du carrefour du Précipice de l’Ortille

se trouve la « croix du Précipice » ou « Croix des scouts » qui termine un chemin de croix abandonné.
Elle fut élevée par les SdF de Compiègne vers 1965.

Apremont (60300)


10 km. à l’ouest de Senlis

Plaque avec palme de Pierre Dauverne Au cimetière (sous le cénotaphe de la famille Benard-Delavallée), plaque avec palme à la mémoire de Pierre DAUVERNÉ, séminariste, tué le 19 septembre 1939.

Il était entré au groupe de Stanislas à la 58è Paris en janvier 1929 dans la patrouille de l’écureuil. Second de patrouille des cigognes en octobre 1931, il s’occupera ensuite de la revue de groupe en tant que secrétaire.
En mai 1934 à la création de la troupe aînée il est nommé CP des Tarasques, puis ACT à partir d’octobre.
Entré au séminaire de St Sulpice en octobre 1935, la guerre éclate pendant son service militaire comme sergent au 106è R.I.

Senlis (60300)

Rue et lycée Amyot d’Inville

à la Cathédrale

Plaque pour l'Abbé Gérald Amyot d'Inville JPEG - 264.9 ko Plaque pour l’Abbé Gérald Amyot d’Inville
vicaire et aumônier scout (+ BUCHENWALD en 1945).
(Voir aussi leur buste ci-dessus à Beauvais)
JPEG - 61.2 ko
Pour en savoir plus : livre de 160 pages, imprimé en 1963, disponible au Mémorial de Riaumont.

Cimetière

JPEG - 123 ko Tombe de Vincent CERIEZ
portant la mention « Scout de France »

JPEG - 84.5 ko Tombe de François CHASTEL, mort pour la France le 6 juin 1940 à 20 ans,
indiqué comme « Scout Routier ».

François Chastel était beau-frère des Amyot d’Inville par sa sœur Geneviève CHASTEL enterrée ici.

Sur cette tombe on remarque également le nom du docteur André CHASTEL, sommité à Senlis (un centre porte son nom) médecin à la Grande Guerre et dans le groupe de Résistance de l’abbé Gérald AMYOT D’INVILLE durant la Seconde Guerre modiale.
JPEG - 258.3 ko

Remarquer aussi à l’entrée du cimetière
le monument où figurent les noms de
Gérald Amyot d’Inville (cf. ci-dessus)
et d’Auguste MONNET, EDF à Senlis, résistant mort en déportation le 23 janvier 1944.

Cuise-la-Motte (60350)


JPEG - 17 ko La Chesnoye Autel scout à Cuise-la-Motte

« La Maison Française » est un pensionnat pour jeunes filles, initié par le Père SEVIN en 1948, dont la règle et le projet pédagogique sont inspirés du scoutisme.

Ce « Collège Jacques Sevin » de Pierrefonds est animé par les Sœurs de la Sainte Croix de Jérusalem.

Néry (60320)


JPEG - 221.5 ko JPEG - 299.5 ko A 500 m. au nord du village, sur la D98,

stèle aux résistants du maquis
abattus le 29 août 1944,

dont Yves CALABRE,
scout de France à la 2e St Brieuc

Troussures (60390)


Crypte de la chapelle du parc

Tombe du Père DONCOEUR
Communauté St Jean Notre-Dame de Cana

Extraits (p.141 à 146) de « Mémoire du scoutisme »

Le Père Doncoeur en tenue de marche Paul, (Jules, Eugène, Damiette) DONCOEUR .
Né le 6 septembre 1880 à NANTES, mort le 21 avril 1961 à TROUSSURES.

Prêtre de la Compagnie de Jésus, il fut tout à la fois philosophe, écrivain, historien, cinéaste, liturgiste et fondateur des « Cadets » ainsi qu’Aumônier national de la Route entre 1940 et 1945.

En juillet 1946, il organisa encore un grand rassemblement à VÉZELAY auquel participa anonymement le Père SEVIN et où convergèrent 14 croix vers le sanctuaire.

Après la guerre, le Père Doncœur oeuvra avec sa grande autorité intellectuelle et religieuse dans plusieurs directions. Il se consacra d’abord à poursuivre son action de conseiller de la jeunesse en rédigeant les « Cahiers de Ste JEHANNE ».
Puis il poursuivit ses études commencée avant la guerre sur Jeanne d’Arc en approfondissant l’intérêt historique, analytique et spirituel sur le sujet. De 1948 à 1961, il ne publiera pas moins de huit livres qui lui furent consacrés, offrant à leurs lecteurs des textes inédits et authentiques concernant le procès de réhabilitation. Il rechercha dans les bibliothèques de Paris, d’Orléans, de Londres des manuscrits inconnus et oubliés sur la Pucelle d’Orléans. Il travailla sur le manuscrit d’URFÉ.

En 1948, Victor FLEMING faisait appel à lui pour être le conseiller dans la réalisation d’un film sur Jeanne d’Arc, dont l’actrice très connue de l’époque Ingrid BERGMAN fut la vedette. Cette dernière fut du reste invitée à TROUSSURES où le Père passait une grande partie de son temps, et où finalement il obtint la permission de résider continuellement.

Plaque Tombale du Père Doncoeur De 1950 à sa mort, Paul Doncœur se déplaçait toujours pour célébrer avec ses anciens camarades de combat les anniversaires de la guerre de 14/18. A chaque fois qu’il le pouvait, il célébrait une messe et leur adressait de sublimes paroles sur les sacrifices consentis.

A TROUSSURES, il accueillait les jeunes ménages, organisait des retraites et prenait la parole lors des réunions de foyers d’anciens Cadets ou d’anciennes des Équipes Ste JEHANNE. Il prononça le 8 mars 1961 une dernière conférence sur Jeanne d’Arc à Beauvais. Il mourut le 21 avril, lundi de Pâques 1961. Il a été inhumé dans la crypte de la chapelle de TROUSSURES, à l’issue d’obsèques solennelles présidées par le Père Jacques PATRIA, futur évêque de Périgueux.

A lire : Les « Souvenirs » du Père Paul DONCOEUR , des livres précieux de spiritualité pour les routiers.

Verberie (60410)


Château de CAPPY , ancien camp-école des éclaireurs pour les EDF & EUF.

Voir aussi Extraits de « Mémoire du scoutisme » (p.79)

Alors que les SDF en étaient encore aux balbutiements, les EU et les EDF pratiquaient déjà des rassemblements importants. C’est ainsi qu’eut lieu en 1921 la réunion de près de 200 chefs au camp de Lacroix-Saint-Ouen (60610)* - situé en forêt de Compiègne, à la limite des anciens lieux de combats de la région nord - sous le patronage du Comité Américain pour les Régions Dévastées.

A la suite du camp de 1922, toujours à Lacroix-Saint-Ouen eut lieu le congrès international où l’existence du camp-école de Gilwell fut donné en exemple pour la formation des chefs. L’idée de rassembler une ou deux centaines de responsables devint alors obsolète et fut remplacée par la constitution de trois ou quatre patrouilles de stagiaires volontaires (soit entre 15 et 20) pour passer au moins une semaine en formation comme à Gilwell-Park. L’idée était tellement dans l’air que les SDF, rattrapant le temps perdu, inaugurèrent à Pâques 1923 leur propre camp-école à Chamarande sur le modèle de Gilwell.

Château de Cappy Le manoir servait de base pour certaines activités et parfois la cuisine, tandis que les emplacements des patrouilles de stagiaires s’éparpillaient dans les taillis d’un terrain sablonneux et propice au campement. L’emplacement du feu de camp était placé à l’écart dans un coin de bois abrité.

Les épreuves de la guerre de 1914/18 avaient rapproché les deux associations de scoutisme : EU et EDF et une première Fédération (éphémère) s’était constituée sous la présidence du général de Berkheim (Président intérimaire des EDF en l’absence de Charcot). Cependant la remise du camp de Cappy aux deux mouvements devait être l’occasion d’une collaboration de plus en plus étroite jusqu’en 1939.

Le Camp de Cappy fut inauguré officiellement le 21 octobre 1923 par un préfet en présence d’Emile Guillen chef du camp, des autorités des EU et des EDF et de Hubert Martin, directeur du Bureau international du scoutisme. Le programme de Cappy était en tous points comparable à celui de Gilwell avec moins de temps libre et, en supplément, l’étude de disciplines nouvelles comme l’art de conter, de se costumer ou la pratique de sports d’équipe comme le basket ou le volley.

Dans les débuts, tout au moins, les repas du soir, confectionnés par la cuisine du manoir, étaient pris en commun, tandis que le petit déjeuner et le repas de midi préparés en patrouille étaient pris de même.

La propriété de Cappy fut vendue à un particulier en 1987.

* Lacroix-Saint-Ouen, chez les historiens du scoutisme, figure la plupart du temps écrit en quatre mot : la Croix Saint Ouen, en réalité Lacroix en un seul mot est la règle générale admise par l’administration et la cartogaphie.

Documentation sur Cappy :

  • Dans la revue « Jamboree » de Janvier 1924 repris par la revue « Kim » N°51 de 1992.
    « Aux sources du scoutisme Français ». Editions du Scorpion 1961.
  • Voir aussi ce site

Thieux (60480)


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Statue de ND de la Route (sculptée par Charles Jacob).
Charles Jacob (1897-1972) fut élève puis collaborateur de Henri Charlier. A partir de 1933, il enseigne le dessin au collège de Juilly (où avait été aussi le Chanoine Cornette)

Ressons-sur-Matz (60490)


JPEG - 73.2 ko Calvaire scout à Ressons Près de l’autoroute A1 (15 km. NO de Compiègne).

Calvaire scout à la croix potencée
au bord de la D.82 (à 2 km. à l’ouest de Ressons)
on le trouve en retrait de la route de 10 mètres au nord de la D82, sur la ligne de crête à mi distance entre la sortie du village et le pont de l’autoroute.

Reconstruit (probablement en 1947) sur la base d’un ancien calvaire, ses deux niches contenaient des statues de St Louis et Ste Jeanne d’Arc.

L’inscription en bas porte ces mots :
Face à la Croix
Face à la vie
Vers Dieu
Avec nos joies
Avec nos peines

Stèle en souvenir du crash du LEO451 du 31 Mai 1940
« A bord, le Sous-lieutenant André Charles Albert BOURGES, chef de bord, l’Adjudant-Chef GAUTHIER, pilote, le Sergent-Chef Georges WEBER, mitrailleur, et le Sergent MICHEL, radio-mitrailleur. »

Chantilly (60500)

Cimetière

Tombe de Wilfried Noé
Tombe de Wilfried Noé, Scout d’Europe, mort à 17 ans.

Place de l’Abbé Charpentier

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rue du Connétable, à proximité du musée vivant du cheval.

église Notre-Dame de l’Assomption

L’abbé Louis CHARPENTIER est né le 10 novembre 1882, à Beauvais. Il participe à la Première Guerre mondiale déjà prêtre où il obtient la croix de guerre. Il est nommé à Chantilly en janvier 1938 et est alors aumônier des Guides de France de la 1re Chantilly.

Pendant l’occupation, il prononce un sermon le 25 juillet 1943 dans lequel il proclame sa volonté de « dire la vérité comme prêtre et comme curé ». Après avoir rappelé que les catholiques doivent aider le pouvoir de Vichy, il déclare : « Mais le problème moral qui s’impose à nous n’est pas encore ainsi résolu tout entier. Les autorités qui requièrent notre obéissance ne sont pas seulement les autorités française, ce sont aussi les autorités occupantes. Quelle obéissance leur devons-nous ? ».
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Sa réponse est claire, c’est une condamnation de l’idéologie nazie et il déclare : « S’ils réussissent, les vainqueurs peuvent espérer ainsi asservir l’Europe toute entière, puis le monde. C’est là surtout que la Résistance est commandée à la France comme un devoir indispensable », avant de conclure : « Les catholiques de France doivent regarder bien en face un si grand péril. S’appuyant sur Dieu et la prière, ils resteront, même au péril de leur liberté, fidèles à la Patrie et à l’Eglise ».

Ce sermon fait grand bruit lorsque, le 23 janvier 1944, les soldats allemands investissent Chantilly en représailles à l’assassinat d’un collaborateur. L’abbé Charpentier est parmi les deux-cent-cinquante personnes arrêtées et surtout parmi les onze internés à Royallieu. Déporté le 23 mars 1944 à Mauthausen, l’abbé Charpentier est mort à Linz en Autriche le 2 juin 1945, un mois presque après sa libération du camp.

Orry (60560)


JPEG - 417.7 ko JPEG - 202.6 ko Esplanade Anne-Lorraine SCHMITT

Cheftaine de louvettes aux Scouts d’Europe,
martyre de la pureté, assassinée dans le RER D
le 25 novembre 2007.

Une plaque a été inaugurée sur la place de la Libération d’Orry le 28 mai 2021. en présence de sa famille et de son père le Général Philippe Schmitt, lui-même ancien CT du Poste de la XIe Nancy au début des années 1970.

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Clermont (60600)


au 12 avenue des déportés JPEG - 159 ko
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Fresque de rue avec les visages de Paul-Emile VICTOR (EdF)
et François TABUTEAU (qui passa sa jeunesse à Clermont, routier SdF et CT de la troupe St Albert de la St Do d’Alger), capitaine au long cours il participa au premier voyage sur le Charcot puis aux deux premières expéditions antarctiques de Paul Emile Victor en Terre Adélie en 1950 et 1951.
On peut suivre ces 2 ans d’expédition dans la revue Feux n° 115 à 128 (sauf 126).

François était le frère d’Etienne TABUTEAU, scout à Clermont, MpF le 6 août 1946 au Tonkin.

Boran-sur-Oise (60820)

Père Sevin JPEG - 408.7 ko Cimetière municipal : tombe du Père Jacques SEVIN située dans la moitié gauche en entrant, derrière des cyprès.

Également à BORAN : Prieuré général des Sœurs de la Sainte Croix de Jérusalem
(vitrines souvenirs personnels du RP Jacques Sevin )
Tél. 03 44 21 90 07 ou 03 44 21 91 89
Courriel

Extraits de « Mémoire du scoutisme » (p.330 à 336) :

C’est en décembre 1950, que le Père Jacques SEVIN fêtait son Jubilé de 50 ans de vie religieuse auprès des religieux de la Société de Jésus de Troyes et de Paris.

Il devait écrire après cette commémoration :
« Je recommande à vos prières la dernière étape, longue ou brève, qui va commencer. Plaise à Notre-Seigneur qu’elle soit toute A.M.D.G. (Ad Majorem Dei Gloriam - Devise des Jésuites disant que tout doit être fait pour la plus grande gloire de Dieu) »

JPEG - 47.2 ko Tombe du Père Jacques Sevin En février ainsi qu’il en avait l’habitude, à de fréquentes reprises, il rendit visite à « ses filles » de Boran. Apprenant qu’un enfant de la Maison Française, malade à l’infirmerie avait besoin d’un médicament à se procurer au village le plus proche, distant de 7kms, le Père SEVIN s’offrit d’aller le chercher sur un vélo moteur prêté. Il prit, probablement froid sur cette route et, d’abord victime d’une simple grippe, il lui fut conseillé par le médecin de garder la chambre. Malheureusement, son organisme usé par tant de tribulations et de dévouement au service des enfants et du scoutisme, luttait de plus en plus mal.

Son état se dégradait inexorablement. En juin, il devint intransportable et les Dames de la Ste Croix le soignèrent et le veillèrent nuit et jour tandis que, conscient de son état, il restait attentif au but ultime de sa spiritualité. Souvent visité par le Supérieur du scolasticat de Chantilly, ce dernier lui administra les derniers sacrements. A la veille de sa mort, il recommanda aux religieuses de sa fondation dans un ultime message :
« Soyez toutes des saintes, il n’y a que cela qui compte »
Tombe du Père Jacques Sevin (détails) JPEG - 45.1 ko
Il s’éteignit doucement, au cours de la nuit du 19 au 20 Juillet 1951, dans le plus grand calme « comme la lampe du sanctuaire qui a, jusqu’à la dernière goutte, épuisé sa réserve d’huile... » (Georges Tisserand).

Le Père SEVIN repose dans le cimetière communal de Boran-sur-Oise. La cause en béatification du vénérable Père Jacques SEVIN n’attend plus qu’un miracle... JPEG - 65.1 ko
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On trouve aussi à Boran une

rue Jacques Sevin

avec le home d’enfants
des sœurs de la Ste Croix de Jérusalem.

Plessis-Belleville (60950)


Nom de l’Aéro-club de Plessis-Belleville (au sud est d’Ermenonville) :
René MOUCHOTTE

Cet aviateur compagnon de la Libération était aussi un scout à la 19e Paris .

Voir livre 100 Scouts morts pour la France p.237-238.


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